La D de Dior
Pour célébrer les vingt ans de La D de Dior, créée en 2003, le précieux cadran et le bracelet de cette icône horlogère se parent des lignes géométriques du cannage, motif cher à Christian Dior.
Le cannage, symbole d’élégance, apparaît sur l’assise des chaises Napoléon III qui accueillaient les invités de Monsieur Dior au 30, avenue Montaigne, adresse iconique de la Maison. Apprécié par le couturier-fondateur pour sa simplicité et sa beauté, ce motif emblématique devient un code Dior, s’épanouissant sur de nombreuses créations.
Cette année, La D de Dior se décline dans une nouvelle version baptisée La D My Dior, sur laquelle se déploient les graphismes de ce dessin signature.
Entièrement gravée à la main, cette maille en or jaune requiert deux jours de travail. Un graveur spécialisé perpétue des gestes traditionnels, entre artisanat d’exception et technicité virtuose.
Il réalise d’abord le motif satine, inspiré des tissus haute couture, tout au long du bracelet et du passant. Vient ensuite la gravure des lignes du cannage, opération exigeant une dextérité extrême pour préserver la géométrie, les angles et le parallélisme des lignes.
La D de Dior est disponible en deux diamètres, 19 et 25 mm, et en deux matériaux, acier ou or jaune.
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